Avant même de créer mes pièces, je suis habitée par elles.
Ces femmes que j’ai croisées à travers des photos, des films, des séries, des tableaux. Elles m’ont appris qu’on pouvait être une œuvre d’art en marchant dans la rue. Sur cette image, c’est pas juste un collage.
C’est mon ADN visuel.
🧢 Lady Di, dans sa version la plus underdog. Jogging, santiags, blazer d’homme, casquette marine.
Celle que j’aime le plus. Loin des diadèmes, proche du terrain.
Elle portait ses contradictions comme des accessoires.
Moi aussi.
🌼 Frida Kahlo, reine sacrée du mix textile et du symbole.
Tenue Tehuana, jupes brodées, châles, fleurs, bijoux lourds — et un regard plus fort que toutes les tendances.
Elle peignait sa douleur. Moi je la brode, je la couds, je la stylise.
💎 Grand-mère Yeta, l’ovni doré de “Une Nounou d’Enfer”.
Paillettes, lunettes teintées, colliers, exagération glorieuse.
Elle est là pour nous rappeler que le bling n’a pas d’âge, et le style non plus.
🐆 Fran Fine, LA nounou. Celle qui a mis le léopard au Panthéon.
Ultra-glam, ultra-féminine, ultra-sûre d’elle, même avec des épaulettes de compétition.
Moi, j’ai hérité de son insolence textile.
🎀 Carrie Bradshaw, en jupe taffetas multicolore et sweat “Cover Girl”.
La queen du mélange, de la mode comme terrain d’expression et de provocation douce.
Comme elle, je crée des looks pour dire quelque chose.
🛼 Farrah Fawcett, brushing nuage en Cortez sur sa planche à roulettes.
Des années 70 incarnées, sport et sexy, fresh et féroce.
C’est ce genre d’équilibre que je cherche dans mes brushings.
Et au centre de tout ça, moi.
Ou plutôt : le feu que j’ai pris d’elles pour allumer mon propre brasier.
Mes vêtements parlent pour moi.
Ils racontent mes racines, mes rébellions, mes clashs d’époques.
Ils sont ma signature, mon armure, mon drapeau.
Je ne veux pas juste être bien habillée.
Je veux qu’on me voie, qu’on se retourne,
et qu’on se dise :
“Elle ne ressemble à personne… et c’est ça qui est beau.”
Votre panier est vide.